Dans le cadre de la restauration de l'objectif du plan divin pour la destination de l'humanité se révélait le projet d'une marche progressive de concrétisation de la solidarité entre tous les êtres humains. Elle atteindrait finalement le monde entier.
Des explications du plan se trouvent dans le blog Pangeosis (lien à gauche).

L'auteur, de ce blog est Instructeur de la science et de la conscience de synthèse pour l'humanité. Avec sa compagne de vie, ils sont les instructeurs de ce plan comme un père et une mère, que guident leurs frères et sœurs de la terre.
Le défié du plan est de rassembler les expériences et les visions de tous, en les valorisant dans une grande force d'harmonisation dynamique et solidaire de compassion, pardon et réconciliation, au-delà des différences de notre couleur, culture, nation, objectifs et convictions particuliers.

Son but est de découvrir par la Marche comment créer un nouvel ordre de valeurs et de justice pour tous, qui puisse libérer le monde de ses incohérences de division et de son ordre destructif de relations incorrectes avec soi-même, l'environnement et les autres. Son résultat sera la réalisation de la Grande Fraternité Universelle.

L'éveil concret de la solidarité mondiale est le seul moyen pour pouvoir dépasser la crise majeure dans laquelle le monde actuel est entré. Sans l'ouverture de nouveaux horizons sur l'organisation de la vie planétaire, il n'y aurait point d'espoir de la survie sur Terre à long terme.
Le saut quantique est une élévation de la vibration de la vie. Il demande une harmonisation entre esprit et matière dans les relations des êtres humains.

jeudi 29 novembre 2018

Vers une écologie de penser

Une lettre ouverte de synthèse sur l’évolution de la pensée démocratique actuelle dans le contexte des crises, clivages politiques, et le climat de réchauffement du mécontentement       (réflexions à l’occasion du débat avec Nicolas Hulot le 23 novembre sur France 2)
1. Introduction : une situation inhabituelle !
Voilà un tour d’horizon très instructif et constructif sur l’enjeu de la transition qui traverse la France et le monde entier mais dont nous avons du mal à saisir la vraie étendue de son sens à cause de NOTRE FAÇON PEU ECOLOGIQUE DE FORMER, EXPRIMER ET REALISER NOS PENSEES. Pourtant, il y a plein de signes positifs qu’il y ait un changement dans la conscience de beaucoup de gens qui dépasse l’ordre établi. Beaucoup, comme nous-mêmes, dégoutés par les concepts qui font décliner le sens de leur vie, sont à la recherche de formes nouvelles qui dépassent la façon de penser actuelle. Apparemment elles n’auraient pas encore réussies à pénétrer les hauteurs de la conscience politique. Pourtant, elle aussi se trouve poussée à la MARCHE DE LA RECHERCHE DE CHANGEMENTS. Mais dans cette transition de crises successives, les changements se mélangent avec le vieux et ont tendance à  s’embrouiller. Ainsi l’espoir porté sur l’élection du président Macron semble se dissiper progressivement dans les ombres des vieilles habitudes de gouverner en faisant semblant d’entendre les cris des gens dans le besoin. Mais il s’agit d’une contestation d’ordre inhabituel, signe d’une autre manière de penser notre société. Qui ne dit pas : « ça ne peut pas continuer comme ça ! »
2. Les signes d’une révolution silencieuse 

Il s’agit d’UNE REVOLUTION SILENCIEUSE, PROFONDE, jusque-là peu visible. Elle touche différents couches de la société. Il s’agit du besoin d’une forme de communication plus directe et interactive inconnue de l’ordre établi. C’est une recherche vers LA VERITE ET LA COHERENCE entre ce qu’on ressent et pense et ce qu’on peut exprimer. C’est la recherche d’un sens plus valorisant pour la vie de chacun, pas réservé à une minorité. Beaucoup y adhèrent passivement, sans trop pouvoir réagir, occupés, limités ou bloqués par les contraintes de leur vie. Soudainement, ce silence se trouve dépassé par une réaction d’ordre nouveau, comme des volcans qui s’ouvrent. Elle ne touche pas seulement la France. Elle est bien plus profonde que les actualités montrent par « les gilets jaunes », symboles d’alerte pour une situation de détresse et de sauvetage. Ils ne montrent que la surface alarmante de l’iceberg du matérialisme mondial. En dessous se cache bien la moitié d’une société mécontente, apparemment silencieuse, obligé à s’occuper de protéger ce qui reste de sa situation dégradante. Elle montre un premier visage d’une crise complexe qui est bien plus qu’une pollution matérielle.
3. Le vrai visage 
Cette révolution silencieuse a du mal à percer et montrer son vrai visage du fait de son CARACTERE TRANSVERSAL, DIFFUSE ET HORIZONTAL. Il s’agit de l’éveil d’une nouvelle forme de conscience collective dont l’identité et l’organisation ne sont pas inscrites dans nos états modernes. C’est comme les premiers signes d’un tsunami inattendu de lumière naissante, encore vague. Assis sur les concepts fermés de l’ordre établi, ce qui n’est pas directement saisissable et contrôlable, donne lieu soit à la peur de voir son sérieux, soit à sa sous-estimation ou au refus de sa reconnaissance. 
Nous pouvons définir ce mouvement comme une révolution de gens courageux qui ne veulent plus de cette société qui nourrit des pensées de peur, d’injustice, de division et d’exclusion. Sous le prétexte du bonheur, elle fait trop de promesses sans les résoudre et voir le fond des causes des problèmes. Au contraire, elle demande de sacrifier toujours plus de temps au travail pour faire tourner un système économique de consommation toujours plus exigeant et destructif et où tout dépend de l’argent. Qui ne se sent pas comme son victime, trop souvent au détriment de sa santé ?!
4. Une ère nouvelle
IL se renforce LE REVE DU PARADIS DE CHACUN DE MENER UNE VIE PLUS HEUREUSE où il y a plus d’originalité, d’authenticité, de liberté, d’entente, de simplicité et de reconnaissance de chacun à travers des relations plus justes. La pauvreté et décadence du monde matérialiste vivifient le besoin d’un esprit de solidarité et d’une conscience d’union plus réelles. Les élus savent bien manipuler ces mots sans se rendre réellement compte de leur enjeu et du besoin de changer leur façon de penser.
C’est l’effet du changement cyclique du plan de l’évolution de la terre dû à la percée d’énergies nouvelles. C’est l’ère du verseau qui éveille L’ESPRIT DE VERITE ET DE TRANSPARANCE DANS LA CONSCIENCE. Ces énergies stimulent le besoin de LA PAIX PAR LA RECONNAISSANCE D’UNE FRATERNITE UNIVERSELLE PAR LA RECONNEXION AVEC LES VALEURS DES SOURCES DE VIE. C’était la volonté du pan de la fin des temps actuels, largement prophétisé et attendu par l’humanité entière et reconnu par des gens bienveillants, mais plutôt ignoré par le scepticisme de l’esprit matérialiste.
Cette crise met en lumière LE SENS INCORRECT DE LA VIE ACTUELLE, NOURRI PAR LA PERSPECTIVE DES MENACES DE SURVIE. Alors c’est le temps des révélations de ce qui ne va plus. Les saletés du monde viennent à la lumière. C’est donc une crise galopante. Ses catastrophes nous toucheront de plus en plus aussi longtemps qu’elles ne soient pas comprises et que nous ne changions pas d’attitude.
5. Le besoin de nouvelles solutions sur le sens de la vie
Beaucoup ne posent pas la question fondamentale sur le sens de la vie, TOUS SES ASPECTS ET LEURS EFFETS D’INTERACTIVITE DANS L’ENSEMBLE ». L’accélération des évènements de bouleversement semble nous dépasser mais nous touchent tous de plus en plus de près. Des situations nouvelles et imprévus s’accumulent et poussent à prendre des mesures d’urgence, souvent trop ciblées et sans estimation correcte de leurs conséquences. Souvent aussi, on essaie simplement à restaurer le passé.
Effectivement, les problèmes sont généralement compris selon une vérité de vues parti-elles. Les solutions répondent alors pas de façon juste à leur vraie raison d’être. C’est une forme de fixation de buts précis sans se soucier assez pour les effets sur l’ensemble. Nous la constatons aussi chez nos jeunes, entre autre nos petits-enfants. Nous ne trouvons donc souvent pas  les solutions adaptées, acceptables et durables. Elles risquent d’agir contre l’esprit de solidarité où chacun puisse prendre sa part de responsabilité. Elles accumulent donc de l’insatisfaction. En plus, ceci tend à augmenter  l’esprit de dépendance, d’attente et d’exigences envers ceux qui sont estimés de pouvoir résoudre les problèmes des autres.
6. Le besoin d’une autre approche
Quand il n’y a pas suffisamment de PREPARATION, D’INFORMATIONS CLAIRES ET DE COMMUNICATION SOLIDAIRE, toute solution et action, même nécessaires et fondées, sont incomprises. Elles déplacent simplement les problèmes et créent des réactions qui ouvrent la porte à l’opportunisme d’extrémistes et  casseurs et manipulateurs populistes. En d’autres termes, il y a besoin de plus D’INTERACTIVITE DIRECTE, PARTICIPATION REELLE ET ECHANGES COMMUNICATIVES PLUS LARGES.
7. Une vision caduque 
Dans ce contexte, la tendance mondiale d’imposer une vision capitaliste basée sur un INDIVIDUALISME LIBERALISTE pour sauver une économie de consommation à tout prix conduit à l’instabilité sociale à cause des crises d’autodestruction qu’elle provoque. Faire prévaloir des résultats de productivité, de croissance effrénée et de rentabilité sans les équilibrer réellement avec des valeurs humaines pour respecter les différences sociales et les besoins réels, ne fait qu’affaiblir la cohérence de la paix sociale.
Maintenant que le communisme autoritaire est à sa fin, c’est à cet impérialisme capitaliste et individualiste de céder sa place à des nouveaux concepts d’organisation de la vie. Il faut une vie politique de libération de la responsabilité de chacun, basée sur une économie solidaire, circulaire, durable  et écologique. Les énergies nouvelles stimulent la pensée humaine à s’assouplir et s’ouvrir au partage équitable selon les besoins et le potentiel de chacun (égalité par synergie), à la libre participation volontaire (synchronie par liberté), à la coopération selon les moyens et qualités de chacun (union fraternelle des forces ou synergie)  et à la communication interactive dans la recherche de l’esprit de solidarité  (accord de vision holistique ou synopsis).
8. Penser termes d’argent et en logique du combat
L’organisation de la vie actuelle nourrit toujours l’esprit de PENSER EN TERMES DE DIVISION. Ses moyens de communication avec ses belles paroles, font rêver chacun de pouvoir penser, faire, réaliser et s’imposer à l’autre comme il veut. C’est L’ESPRIT DE L’ANARCHIE, contraire à l’esprit de solidarité. Comment réaliser dans ce contexte des accords sociaux ? Il génère des situ                ations chaotiques que les gouvernements craignent le plus : la perdition du contrôle de l’ordre de l’état de droit, causée par des réactions incontrôlables de sentiments de mécontentement, rage, violence et destruction pour être entendu. Les pays risquent de devenir ingouvernables. C’est la conséquence de la forme de PENSER EN TERMES D’ARGENT ET EN LOGIQUE DE COMBAT POUR LE PLUS FORT qui domine l’ensemble de notre société. Elle ouvre effectivement la porte à l’extrémisme et à la violence qui sont la proie facile de manipulations de tout genre pour récupérer ces forces au profit d’intérêts personnels.
L’opposition de ces forces de combat nourrit LA CONVICTION ERRONNEE QUE LA PAIX NE SOIT POSSIBLE QUE PAR DES  CONFLITS. Dans ce contexte, il n’y a pas le temps pour la réflexion étendue et profonde parce qu’avant tout on juge pour imposer et protéger ses concepts avant d’accepter de s’ouvrir à l’autre. Enfin, pour réussir il faut obtenir la force majeure (la majorité) comme dans le monde animal. Comment elle parait civilisée ce principe de majorité !
9. L’esprit de solidarité : la quatrième dimension 
Nos démocraties fonctionnent comme des particraties. Elles essayent de s’imposer par la force d’une majorité pour en profiter à tort ou à raison. Les hommes politiques disent souvent « je vous ai entendu, je vous ai compris», mais assis sur une majorité, ils essaient souvent à ignorer ou à minimaliser l’importance des minorités contestataires. Pour avancer vite, on ne voit pas d’autres solutions que ce principe de la majorité. Ainsi la majorité nouvellement élue doit changer les décisions de la majorité précédente parce qu’elles sont à trop court terme, devenues incompatibles.
Pourtant, les hommes politiques veulent rassembler et unir. Ils parlent de solidarité et du respect de la diversité mais ils ne disent jamais qu’il faut échanger pour s’entendre et s’harmoniser l’un avec l’autre pour être plus cohérents et faciliter les accords. Nous avons l’impression que LA REVOLUTION FRANÇAISE continue toujours à travers l’esprit de devoir critiquer et s’opposer à tout propos. Il ne parait pas exister encore d’issue plus positive et constructive. Cet esprit révolutionnaire de renverser la situation se trouve donc opposé au  principe de la majorité qui a le droit d’ignorer la minorité.
Bien que nous ayons progressé en égalité, liberté et fraternité, il nous manque LA CLE COMMUNE de leur fondement : L’ESPRIT DE SOLIDARITE. C’est la QUATRIEME DIMENSION DE L’ACCORD ou DU DENS. Elle manque dans notre devise nationale. Cet esprit  donne la dimension de l’accord social à l’égalité, la liberté et la fraternité. C’est la condition du saut de la conscience individualiste révolutionnaire actuelle vers une conscience d’union paisible.
10. Vers une écologie de nos pensées
La raison fondamentale de la révolution était : équilibrer les excès des privilèges ou divergences pour instaurer des relations plus justes dans l’ensemble. Nous restons donc dans la pensée révolutionnaire mais polluée par des visions individualistes dont l’horizon est limité par des vérités parti-elles et de partis pris qui sont de moins en moins supportées. En conséquence, nous empêchons que chacun puisse correctement COMPRENDRE ET LIBREMENT JOUER SON JUSTE ROLE DE SERVICE selon ses moyens pour le plus grand bien de l’ensemble de la société.
Notre façon actuelle de penser signifie un non-respect pour la pensée intelligemment authentique,  juste et véridique que nous appelons L’ECOLOGIE DE LA PENSEE. L’atmosphère de combat ne peut autrement générer que des clivages d’injustice dans les relations sociales : entre valeurs spirituelles et matérielles, entre gouvernants et gouvernés, entre administrations et besoins concrètes, entre intérêts collectifs et individuels, entre quantité de production et qualité de consommation, entre riches et pauvres, entre ceux qui travaillent et ceux qui n’en trouvent pas, entre accessibilités aux premiers nécessités et produits de luxes, entre préservation des ressources vitales et destruction par leur épuisement.  
Une écologie de penser suppose de passer à la fois au-delà de l’impact aveuglant de nos sentiments et au-delà de l’automatisme du fonctionnement de division mental de notre cerveau entre le côté  gauche plus sélectif et directif et le côté droit plus réceptif et globalisant. C’est faire l’effort interactif d’un balancement d’harmonisation entre les deux côtés pour passer au-delà de cette division et atteindre une vision à la fois plus globale ou holistique et nuancée. Notre vie sociale reflète bien les limites et confusions de cette interactivité  dans nos cerveaux.
11. Le sens de la nouvelle direction
L’humanité est dans l’espoir et l’attente d’un changement profond. Elle ne puisse venir d’une seule personne. L’ENJEU EST COLLECTIF puisque les effets destructifs des changements touchent inévitablement de plus en plus tout le monde. La seule solution est de changer notre façon de penser et d’agir.
ARRETONS DE JUGER DIRECTEMENT et DE CRITIQUER pour exclure et diviser. Prenons distance pour laisser la place au principe fondamental pour notre survie : METTRE EN VALEUR TOUT CE QUI EST POSITIF  ET LE  DONNER PLUS DE CHANCE.  Nous devons apprendre à « AGIR A TEMPS ET POUR » au lieu de toujours lutter contre et trop tard. La lutte est l’arme aveugle de désespoir et des situations chaotiques! Ce n’est pas la voie de la pensée écologique.
Essayons plutôt de  créer une atmosphère constructive de confiance pour que notre esprit conflictuel et exclusif se transforme en ESPRIT DE PAIX PAR L’HARMONISATION DE NOS RELATIONS au lieu de faire le détour par les conflits. C’est seulement dans cette perspective que l’être humain est disposé à faire des sacrifices, si nécessaires. C’est cela le sens du saut quantique de notre monde matériel actuel vers un monde de qualité de conscience spirituelle qui réconcilie enfin les deux.  
12. La Concrétisation :
Tout cela demande DES INSTRUMENTS ADAPTES, autant ouverts et officiels qu’indépendants et particuliers.

-  Au niveau public et officiel. Il y a besoin DE FORUMS DE COMMUNICATION à tous les niveaux. Il s’agit de forums libres d’intérêts particuliers, neutres et ouverts qui peuvent s’orienter vers différentes classes d’âges et aspects de la vie. Nous avons les moyens techniques et informatiques pour les organiser et faciliter leurs accès au-delà du temps des occupations qui retiennent les gens. C’est le FONDEMENT DE LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE.

D’un côté, les citoyens ont besoin d’être informés directement par les responsables des pouvoirs et des spécialistes et de l’autre côté, ces responsables ont besoin d’un contact plus direct avec ce qui vit à la base pour connaître ses besoins réels. Ainsi, par des discussions locales des visions nouvelles peuvent se créer et des avis utiles à la fois pour les gouvernants et les citoyens. Ils peuvent contribuer à des accords qui facilitent l’acceptation et la justification des mesures à prendre sans attendre que ce soit trop tard. Pourtant, pour être fonctionnels, il y a besoin d’une gestation par des personnes, capables par leur formation et sagesse, à faire une synthèse correcte de ces échanges.

Ces forums ajusteront le rôle des hommes politiques qui demande de plus en plus, au-delà de leur  technicité, la FORMATION D’UNE VISION HOLISTIQUE DE SYNTHESE à fin de comprendre où est l’union dans nos divergences au-delà de la vérité limitée et exclusive de nos concepts et convictions individuelles.
De l’autre côté, les citoyens ont besoin d’instruments éducatifs de discernement et de vérification pour comprendre leur place dans la complexité de la vie. Ils doivent pouvoir s’informer et s’exprimer, libre de l’esprit de soumission et du militantisme qu’imposent les organisations politiquement engagés. C’est d’ailleurs par ce manque de pouvoir s’exprimer librement et d’être entendu que leur crédibilité et confiance sont mises en question. Actuellement, non seulement le simple citoyen doit se soumettre pour pouvoir s’exprimer, il doit en plus livrer une bataille exaspérant pour être écouté et encore plus pour avoir une certaine autorité pour être pris en compte. C’est un exemple concret du clivage entre individu et collectivité.

Ces changements dans l’esprit démocratique sont en train de se produire à la base de la société. Mais les hommes politiques semblent voir cela comme des menaces de leur influence et pouvoir. Ils préfèrent autant que possible les détourner au moyen de belles promesses ou déplacer les problèmes.

-  Au niveau particulier.
L’humanité n’a pas seulement besoin d’organisations officielles  pour pouvoir s’adapter aux besoins des changements. Tous les êtres humains ont urgemment besoin DE STRUCTURES PARTICULIERES QUI ŒUVRENT POUR  UNE ECOLOGIE DU BON SENS DANS LA FAÇON DE PENSER de CHACUN.

La complexité de la vie actuelle demande la création de nouvelles références pour harmoniser les différents courants de la pensée humaine. Aussi les autorités spirituelles restent enfermées dans leurs vieilles façons de penser et d’agir pour laisser la plupart des gens sur leur faim. La responsabilité indirecte de l’être humain envers tous les domaines de la vie demande que chacun sache se situer dans l’ensemble. Le rêve de l’union de l’humanité dans la paix fraternelle et la solidarité de la justice soit impensable sans que chacun puisse adhérer à une vision globale dans laquelle il compte et que sa pensée soit valorisée en rapport de son service à l’ensemble.

Créer une écologie de penser demande de créer une vision globale, ouverte et dynamique sur le sens de la vie qui donne à chaque aspects sa juste place interactive dans l’ensemble. Pour cela, on a besoin de rassembler toutes nos connaissances, expériences, tendances et nouveautés de tout horizon pour en distiller le sens et la meilleure direction du plan d’évolution pour l’humanité. Il ne s’agit plus ici d’un combat pour convaincre, mais de LA RECHERCHE DE LA VERITE DU SERVICE DE CHACUN  ET DE CHAQUE ASPECT AU BIEN COMMUN. Créer une vision globale et faire un travail de synthèse pour voir clair dans l’ensemble et chacun de ses éléments. C’est ce souffle d’Esprit Instructeur qui plane sur le monde. 

Il s’agit donc de la création de CENTRES DE RECHERCHE DE FORMATION ET D’EDUCATION DE L’ESPRIT DE SYNTHESE. Il est indispensable pour que la marche de solidarité et la conscience d’union en paix entre les êtres humains devienne une réalité. Pour ça, il ne faut pas seulement s’orienter vers le sens des différences dans de l’ensemble mondial mais aussi sur l’ensemble des domaines spécifiques comme santé, vie professionnelle, économie, science, techniques et spiritualité qui nécessitent des démarches similaires. La stimulation des relations d’échange entre ces domaines devrait être également objet de ces centres.
Des centres et un réseau pour le travail de synthèse
La Grande Transition du Monde se fera ou bien dans le chaos destructif ou bien dans la transition positive, bien que certains bouleversements majeurs, prévus pour le très proche avenir – une question de mois seulement - sont nécessaires, prévus et inévitables.
Voilà que l’humanité est inspiré de créer des centres et un réseau pour faciliter ce changement de penser qui le rendront possibles DE CORRIGER LE SENS DE LA VIE, vécu actuellement dans un monde de plus en plus menaçant.
Ces centres peuvent servir comme une espèce d’écoles universelles de la vie qui facilitent  l’écologie de penser, la vérité de l’information, l’aide, les échanges, les stages et la formation générale ou spécifique d’initiation dans l’esprit de synthèse. Leur but n’est pas seulement l’intégration de nouvelles visions, mais aussi de nouvelles pratiques et structures de partage, de convivience, de coopération et de communication  pour l’organisation d’un ordre nouveau. Comme références de la transformation positive de la société et de renforcement de la marche mondiale vers la solidarité, ils peuvent aussi former des autorités neutres, formant des supports libres et indépendants pour l’ordre officiel. C’EST  L’ESPRIT DES NATIONS UNIES MAIS EN PLUS DIRECT, CONCRET ET MULTIPLIE JUSQUE SUR LE PLAN LOCAL.
C’est dans ce sens que nous avons développé LE PROJET CALADROY, mentionné dans ce blog.
14. Conclusion :
Le problème de la fin du monde n’est pas seulement un problème d’actions écologiques envers notre environnement, surtout pas sur le dos de ceux qui sont déjà dans le besoin et qui en souffrent déjà le plus. Aucune solution n’aura pas suffisamment d’effet et ne sera pas pris à temps si elles ne soient pas accompagnées par une écologie de notre façon de penser. Il s’agit avant tout de voir comment HARMONISER LE SENS DE LA VIE DE CHACUN AVEC LE SENS DE L’EVOLUTION DE LA VIE DE TOUTE L’HUMANITE, au-delà du potentiel limité de la vision individuelle des hommes politiques.
Nous sommes convaincus que le vrai sens des changements actuels est de nous pousser vers une nouvelle conscience à fin d’harmoniser les consciences individuelles. Elle ira au-delà de nos engagements et vision particuliers à fin que nous unissions nos forces dans le respect des particularités de chacun. L’UNION FAIT LA FORCE. La paix, la santé, le bonheur et la survie de l’humanité sont à ce prix. L’esprit d’union va inévitablement dans le sens d’unir les personnes de bonne volonté, de bonne intention en faisant le bon apport des leurs moyens et prêts à créer une vision fraternelle et solidaire qui tient compte avec tous les niveaux de vie de la terre en les respectant.
Entretemps, le résultat de ces réflexions ressemblent à des belles princesses enfermées et endormies dans les belles châteaux de villes de rêves en attendant que des nobles et sages personnes s’unissent et décident de les embrasser pour les éveiller et leur donner longue vie et abondance de fruits de vérité, de bonheur de vivre et de lumière de conscience d’union en paix durable.

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