Une lettre ouverte de synthèse sur l’évolution de la pensée démocratique
actuelle dans le contexte des crises, clivages politiques, et le climat de réchauffement
du mécontentement (réflexions à l’occasion du débat avec
Nicolas Hulot le 23 novembre sur France 2)
1. Introduction : une
situation inhabituelle !
Voilà un tour d’horizon très instructif et constructif sur l’enjeu de la
transition qui traverse la France et le monde entier mais dont nous avons du
mal à saisir la vraie étendue de son sens à cause de NOTRE FAÇON
PEU ECOLOGIQUE DE FORMER, EXPRIMER ET REALISER NOS PENSEES. Pourtant, il y a plein de signes
positifs qu’il y ait un changement dans la conscience de beaucoup de gens qui
dépasse l’ordre établi. Beaucoup, comme nous-mêmes, dégoutés par les concepts qui
font décliner le sens de leur vie, sont à la recherche de formes nouvelles qui
dépassent la façon de penser actuelle. Apparemment elles n’auraient pas encore réussies
à pénétrer les hauteurs de la conscience politique. Pourtant, elle aussi se
trouve poussée à la MARCHE
DE LA RECHERCHE DE CHANGEMENTS. Mais dans cette transition de crises successives, les changements se
mélangent avec le vieux et ont tendance à s’embrouiller. Ainsi l’espoir porté sur
l’élection du président Macron semble se dissiper progressivement dans les
ombres des vieilles habitudes de gouverner en faisant semblant d’entendre les
cris des gens dans le besoin. Mais il s’agit d’une contestation d’ordre inhabituel,
signe d’une autre manière de penser notre société. Qui ne dit pas :
« ça ne peut pas continuer comme
ça ! »
2. Les signes d’une révolution
silencieuse
Il s’agit d’UNE REVOLUTION SILENCIEUSE, PROFONDE, jusque-là peu visible. Elle touche différents couches
de la société. Il s’agit du besoin d’une forme de communication plus directe et
interactive inconnue de l’ordre établi. C’est une recherche vers LA VERITE ET LA COHERENCE entre
ce qu’on ressent et pense et ce qu’on peut exprimer. C’est la recherche d’un sens
plus valorisant pour la vie de chacun, pas réservé à une minorité. Beaucoup y adhèrent
passivement, sans trop pouvoir réagir, occupés, limités ou bloqués par les contraintes
de leur vie. Soudainement, ce silence se trouve dépassé par une réaction
d’ordre nouveau, comme des volcans qui s’ouvrent. Elle ne touche pas seulement
la France. Elle est bien plus profonde que les actualités montrent par
« les gilets jaunes », symboles d’alerte pour une situation de
détresse et de sauvetage. Ils ne montrent que la surface alarmante de l’iceberg
du matérialisme mondial. En dessous se cache bien la moitié d’une société mécontente,
apparemment silencieuse, obligé à s’occuper de protéger ce qui reste de sa situation
dégradante. Elle montre un premier visage d’une crise complexe qui est bien
plus qu’une pollution matérielle.
3. Le vrai visage
Cette révolution silencieuse a du mal à percer et montrer son vrai visage du
fait de son CARACTERE TRANSVERSAL, DIFFUSE ET HORIZONTAL. Il s’agit de l’éveil d’une nouvelle forme de
conscience collective dont l’identité et l’organisation ne sont pas inscrites
dans nos états modernes. C’est comme
les premiers signes d’un tsunami inattendu
de lumière naissante, encore vague. Assis sur les concepts fermés de l’ordre
établi, ce qui n’est pas directement saisissable et contrôlable, donne lieu soit
à la peur de voir son sérieux, soit à sa sous-estimation ou au refus de sa
reconnaissance.
Nous pouvons définir ce mouvement comme une révolution de gens courageux qui
ne veulent plus de cette société qui nourrit des pensées de peur, d’injustice, de
division et d’exclusion. Sous le prétexte du bonheur, elle fait trop de promesses
sans les résoudre et voir le fond des causes des problèmes. Au contraire, elle demande
de sacrifier toujours plus de temps au travail pour faire tourner un système économique
de consommation toujours plus exigeant et destructif et où tout dépend de
l’argent. Qui ne se sent pas comme son victime, trop souvent au détriment de sa
santé ?!
4. Une ère nouvelle
IL se renforce LE REVE DU PARADIS DE CHACUN DE MENER UNE VIE PLUS HEUREUSE où il
y a plus d’originalité, d’authenticité, de liberté, d’entente, de simplicité et
de reconnaissance de chacun à travers des relations plus justes. La pauvreté et
décadence du monde matérialiste vivifient le besoin d’un esprit de solidarité
et d’une conscience d’union plus réelles. Les élus savent bien manipuler ces
mots sans se rendre réellement compte de leur enjeu et du besoin de changer
leur façon de penser.
C’est l’effet du changement cyclique du plan de l’évolution de la terre dû
à la percée d’énergies nouvelles. C’est l’ère du verseau qui éveille L’ESPRIT DE
VERITE ET DE TRANSPARANCE DANS LA CONSCIENCE. Ces énergies stimulent le besoin de LA PAIX PAR LA
RECONNAISSANCE D’UNE FRATERNITE UNIVERSELLE PAR LA RECONNEXION AVEC LES VALEURS
DES SOURCES DE VIE. C’était
la volonté du pan de la fin des temps actuels, largement prophétisé et attendu
par l’humanité entière et reconnu par des gens bienveillants, mais plutôt
ignoré par le scepticisme de l’esprit matérialiste.
Cette crise met en lumière LE SENS INCORRECT
DE LA VIE ACTUELLE, NOURRI PAR LA PERSPECTIVE DES MENACES DE SURVIE. Alors c’est le temps des révélations de ce
qui ne va plus. Les saletés du monde viennent à la lumière. C’est donc une
crise galopante. Ses catastrophes nous toucheront de plus en plus aussi
longtemps qu’elles ne soient pas comprises et que nous ne changions pas
d’attitude.
5. Le besoin de nouvelles
solutions sur le sens de la vie
Beaucoup ne posent pas la question fondamentale sur le sens de la vie, TOUS SES ASPECTS ET LEURS EFFETS D’INTERACTIVITE DANS L’ENSEMBLE ». L’accélération des évènements de
bouleversement semble nous dépasser mais nous touchent tous de plus en plus de
près. Des situations nouvelles et imprévus s’accumulent et poussent à prendre
des mesures d’urgence, souvent trop ciblées et sans estimation correcte de leurs
conséquences. Souvent aussi, on essaie simplement à restaurer le passé.
Effectivement, les problèmes sont généralement compris selon une vérité de vues
parti-elles. Les solutions répondent alors pas de façon juste à leur vraie raison
d’être. C’est une forme de fixation de buts précis sans se soucier assez pour
les effets sur l’ensemble. Nous la constatons aussi chez nos jeunes, entre
autre nos petits-enfants. Nous ne trouvons donc souvent pas les solutions adaptées, acceptables et durables.
Elles risquent d’agir contre l’esprit de solidarité où chacun puisse prendre sa
part de responsabilité. Elles accumulent donc de l’insatisfaction. En plus, ceci
tend à augmenter l’esprit de dépendance,
d’attente et d’exigences envers ceux qui sont estimés de pouvoir résoudre les
problèmes des autres.
6. Le besoin d’une autre
approche
Quand il n’y a pas suffisamment de PREPARATION, D’INFORMATIONS CLAIRES ET
DE COMMUNICATION SOLIDAIRE, toute solution et action, même nécessaires et fondées, sont incomprises.
Elles déplacent simplement les problèmes et créent des réactions qui ouvrent la
porte à l’opportunisme d’extrémistes et
casseurs et manipulateurs populistes. En d’autres termes, il y a besoin
de plus D’INTERACTIVITE DIRECTE, PARTICIPATION REELLE ET ECHANGES COMMUNICATIVES
PLUS LARGES.
7. Une vision caduque
Dans ce contexte, la tendance mondiale d’imposer une vision capitaliste basée
sur un INDIVIDUALISME LIBERALISTE pour sauver une économie de consommation à
tout prix conduit à l’instabilité sociale à cause des crises d’autodestruction qu’elle
provoque. Faire prévaloir des résultats de productivité, de croissance effrénée
et de rentabilité sans les équilibrer réellement
avec des valeurs humaines pour respecter les différences sociales et les
besoins réels, ne fait qu’affaiblir la cohérence de la paix sociale.
Maintenant que le communisme autoritaire est à sa fin, c’est à cet impérialisme capitaliste et individualiste de
céder sa place à des nouveaux concepts d’organisation de la vie. Il faut une vie
politique de libération de la responsabilité de chacun, basée sur une économie solidaire,
circulaire, durable et écologique. Les
énergies nouvelles stimulent la pensée humaine à s’assouplir et s’ouvrir au partage équitable selon les besoins et
le potentiel de chacun (égalité par synergie), à la libre participation volontaire (synchronie par liberté), à la coopération selon les moyens et qualités de
chacun (union fraternelle des forces ou synergie) et à la communication
interactive dans la recherche de l’esprit de solidarité (accord de vision holistique ou synopsis).
8. Penser termes d’argent et
en logique du combat
L’organisation de la vie actuelle nourrit toujours l’esprit de PENSER EN
TERMES DE DIVISION. Ses
moyens de communication avec ses belles paroles, font rêver chacun de pouvoir
penser, faire, réaliser et s’imposer à l’autre comme il veut. C’est L’ESPRIT DE
L’ANARCHIE, contraire à
l’esprit de solidarité. Comment réaliser dans ce contexte des accords sociaux ?
Il génère des situ ations
chaotiques que les gouvernements craignent le plus : la perdition du contrôle
de l’ordre de l’état de droit, causée par des réactions incontrôlables de
sentiments de mécontentement, rage, violence et destruction pour être entendu. Les
pays risquent de devenir ingouvernables. C’est la conséquence de la forme de PENSER EN TERMES D’ARGENT ET EN LOGIQUE
DE COMBAT POUR LE PLUS FORT qui domine l’ensemble de notre société. Elle ouvre effectivement la porte à
l’extrémisme et à la violence qui sont la proie facile de manipulations de tout
genre pour récupérer ces forces au profit d’intérêts personnels.
L’opposition de ces forces de combat nourrit LA CONVICTION ERRONNEE QUE LA PAIX NE
SOIT POSSIBLE QUE PAR DES CONFLITS. Dans ce contexte, il n’y a pas le temps
pour la réflexion étendue et profonde parce qu’avant tout on juge pour imposer
et protéger ses concepts avant d’accepter de s’ouvrir à l’autre. Enfin, pour
réussir il faut obtenir la force majeure
(la majorité) comme dans le monde animal. Comment elle parait civilisée ce
principe de majorité !
9. L’esprit de solidarité : la
quatrième dimension
Nos démocraties fonctionnent comme des particraties. Elles essayent
de s’imposer par la force d’une majorité pour en profiter à tort ou à raison. Les
hommes politiques disent souvent « je vous ai entendu, je vous ai compris»,
mais assis sur une majorité, ils essaient souvent à ignorer ou à minimaliser
l’importance des minorités contestataires. Pour avancer vite, on ne voit pas
d’autres solutions que ce principe de la majorité. Ainsi la majorité nouvellement
élue doit changer les décisions de la majorité précédente parce qu’elles sont à
trop court terme, devenues incompatibles.
Pourtant, les hommes politiques veulent rassembler et unir. Ils parlent de
solidarité et du respect de la diversité mais ils ne disent jamais qu’il faut échanger
pour s’entendre et s’harmoniser l’un avec l’autre pour être plus cohérents et faciliter
les accords. Nous avons l’impression que LA REVOLUTION FRANÇAISE continue
toujours à travers l’esprit de devoir critiquer
et s’opposer à tout propos. Il ne parait pas exister encore d’issue plus positive
et constructive. Cet esprit révolutionnaire de renverser la situation se trouve
donc opposé au principe de la majorité
qui a le droit d’ignorer la minorité.
Bien que nous ayons progressé en égalité, liberté et fraternité, il nous
manque LA CLE COMMUNE de leur
fondement : L’ESPRIT DE SOLIDARITE. C’est la QUATRIEME DIMENSION DE L’ACCORD ou DU DENS. Elle manque dans notre devise nationale. Cet
esprit donne la dimension de l’accord
social à l’égalité, la liberté et la fraternité. C’est la condition du saut de la
conscience individualiste révolutionnaire actuelle vers une conscience d’union
paisible.
10. Vers une écologie de nos
pensées
La raison fondamentale de la révolution était : équilibrer les excès des
privilèges ou divergences pour instaurer des relations plus justes dans
l’ensemble. Nous restons donc dans la pensée
révolutionnaire mais polluée par des visions individualistes dont l’horizon
est limité par des vérités parti-elles et de partis pris qui sont de moins en
moins supportées. En conséquence, nous empêchons que chacun puisse correctement
COMPRENDRE
ET LIBREMENT JOUER SON JUSTE ROLE DE SERVICE selon ses moyens pour le
plus grand bien de l’ensemble de la société.
Notre façon actuelle de penser signifie un non-respect pour la pensée intelligemment authentique, juste et véridique que nous appelons L’ECOLOGIE DE
LA PENSEE. L’atmosphère
de combat ne peut autrement générer que des clivages d’injustice dans les
relations sociales : entre valeurs spirituelles et matérielles, entre
gouvernants et gouvernés, entre administrations et besoins concrètes, entre
intérêts collectifs et individuels, entre quantité de production et qualité de
consommation, entre riches et pauvres, entre ceux qui travaillent et ceux qui
n’en trouvent pas, entre accessibilités aux premiers nécessités et produits de
luxes, entre préservation des ressources vitales et destruction par leur
épuisement.
Une écologie de penser suppose de passer à la fois au-delà de l’impact aveuglant
de nos sentiments et au-delà de
l’automatisme du fonctionnement de division mental de notre cerveau entre
le côté gauche plus sélectif et directif
et le côté droit plus réceptif et globalisant. C’est faire l’effort interactif d’un
balancement d’harmonisation entre les deux côtés pour passer au-delà de cette
division et atteindre une vision à la fois plus globale ou holistique et
nuancée. Notre vie sociale reflète bien les limites et confusions de cette interactivité dans nos cerveaux.
11. Le sens de la nouvelle direction
L’humanité est dans l’espoir et l’attente d’un changement profond. Elle ne
puisse venir d’une seule personne. L’ENJEU EST COLLECTIF puisque les effets
destructifs des changements touchent inévitablement de plus en plus tout le
monde. La seule solution est de changer notre façon de penser et d’agir.
ARRETONS DE JUGER DIRECTEMENT et DE CRITIQUER
pour exclure et diviser. Prenons distance pour laisser la place au principe fondamental pour notre
survie : METTRE EN VALEUR TOUT CE
QUI EST POSITIF ET LE DONNER PLUS DE CHANCE. Nous devons apprendre à « AGIR A TEMPS ET POUR »
au lieu de toujours lutter
contre et trop tard. La lutte est l’arme aveugle de désespoir et des situations
chaotiques! Ce n’est pas la voie de la pensée écologique.
Essayons plutôt de créer une
atmosphère constructive de confiance pour que notre esprit conflictuel et
exclusif se transforme en ESPRIT DE PAIX PAR L’HARMONISATION DE NOS RELATIONS au
lieu de faire le détour par les conflits. C’est seulement dans cette perspective que
l’être humain est disposé à faire des sacrifices, si nécessaires. C’est cela le
sens du saut quantique de notre monde matériel actuel vers un monde de qualité
de conscience spirituelle qui réconcilie enfin les deux.
12. La Concrétisation :
Tout cela demande DES
INSTRUMENTS ADAPTES, autant
ouverts et officiels qu’indépendants et particuliers.
-
Au niveau public et officiel. Il y a besoin DE FORUMS DE COMMUNICATION à tous les niveaux. Il s’agit de forums
libres d’intérêts particuliers, neutres et ouverts qui peuvent s’orienter vers
différentes classes d’âges et aspects de la vie. Nous avons les moyens
techniques et informatiques pour les organiser et faciliter leurs accès au-delà
du temps des occupations qui retiennent les gens. C’est le FONDEMENT DE
LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE.
D’un côté, les
citoyens ont besoin d’être informés directement par les responsables des
pouvoirs et des spécialistes et de l’autre côté, ces responsables ont besoin
d’un contact plus direct avec ce qui vit à la base pour connaître ses besoins
réels. Ainsi, par des discussions locales des visions nouvelles peuvent se
créer et des avis utiles à la fois pour les gouvernants et les citoyens. Ils
peuvent contribuer à des accords qui facilitent l’acceptation et la
justification des mesures à prendre sans attendre que ce soit trop tard. Pourtant,
pour être fonctionnels, il y a besoin d’une gestation par des personnes,
capables par leur formation et sagesse, à faire
une synthèse correcte de ces échanges.
Ces forums
ajusteront le rôle des hommes politiques qui demande de plus en plus, au-delà
de leur technicité, la FORMATION
D’UNE VISION HOLISTIQUE DE SYNTHESE à fin de comprendre où est l’union dans nos
divergences au-delà de la vérité limitée et exclusive de nos concepts et
convictions individuelles.
De l’autre
côté, les citoyens ont besoin d’instruments éducatifs de discernement et de
vérification pour comprendre leur place dans la complexité de la vie. Ils doivent
pouvoir s’informer et s’exprimer, libre de
l’esprit de soumission et du militantisme qu’imposent les organisations
politiquement engagés. C’est d’ailleurs par ce manque de pouvoir s’exprimer
librement et d’être entendu que leur crédibilité et confiance sont mises en
question. Actuellement, non seulement le simple citoyen doit se soumettre pour
pouvoir s’exprimer, il doit en plus livrer une bataille exaspérant pour être
écouté et encore plus pour avoir une certaine autorité pour être pris en
compte. C’est un exemple concret du clivage entre individu et collectivité.
Ces
changements dans l’esprit démocratique sont en train de se produire à la base
de la société. Mais les hommes politiques semblent voir cela comme des menaces
de leur influence et pouvoir. Ils préfèrent autant que possible les détourner
au moyen de belles promesses ou déplacer les problèmes.
-
Au niveau particulier.
L’humanité
n’a pas seulement besoin d’organisations officielles pour pouvoir s’adapter aux besoins des
changements. Tous les êtres humains ont urgemment besoin DE STRUCTURES
PARTICULIERES QUI ŒUVRENT POUR UNE
ECOLOGIE DU BON SENS DANS LA FAÇON DE PENSER de CHACUN.
La complexité de la vie actuelle demande la
création de nouvelles références pour harmoniser les différents courants de la pensée humaine. Aussi les
autorités spirituelles restent enfermées dans leurs vieilles façons de penser
et d’agir pour laisser la plupart des gens sur leur faim. La responsabilité indirecte de l’être humain
envers tous les domaines de la vie demande que chacun sache se situer dans
l’ensemble. Le rêve de l’union de l’humanité dans la paix fraternelle et la
solidarité de la justice soit impensable sans que chacun puisse adhérer à une
vision globale dans laquelle il compte et que sa pensée soit valorisée en rapport de son service à l’ensemble.
Créer une
écologie de penser demande de créer une vision globale, ouverte et dynamique
sur le sens de la vie qui donne à chaque aspects sa juste place interactive dans
l’ensemble. Pour cela, on a besoin de
rassembler toutes nos connaissances, expériences, tendances et nouveautés
de tout horizon pour en distiller le sens et la meilleure direction du plan
d’évolution pour l’humanité. Il ne s’agit plus ici d’un combat pour convaincre,
mais de LA RECHERCHE DE LA VERITE DU SERVICE DE CHACUN ET DE CHAQUE ASPECT AU BIEN COMMUN. Créer une vision globale et faire un
travail de synthèse pour voir clair dans l’ensemble et chacun de ses éléments.
C’est ce souffle d’Esprit Instructeur qui plane sur le monde.
Il s’agit donc de la création de CENTRES DE RECHERCHE DE FORMATION ET D’EDUCATION DE L’ESPRIT DE SYNTHESE. Il est indispensable pour que la marche
de solidarité et la conscience d’union en paix entre les êtres humains devienne
une réalité. Pour ça, il ne faut pas seulement s’orienter vers le sens des
différences dans de l’ensemble mondial mais aussi sur l’ensemble des domaines spécifiques
comme santé, vie professionnelle, économie, science, techniques et spiritualité
qui nécessitent des démarches similaires. La stimulation des relations d’échange
entre ces domaines devrait être également objet de ces centres.
Des centres et un réseau
pour le travail de synthèse
La Grande Transition du Monde se fera ou bien dans le chaos destructif ou
bien dans la transition positive, bien que certains bouleversements majeurs, prévus pour le très proche avenir – une
question de mois seulement - sont nécessaires, prévus et inévitables.
Voilà que l’humanité est inspiré de créer des centres et un réseau pour
faciliter ce changement de penser qui le rendront possibles DE CORRIGER LE
SENS DE LA VIE, vécu actuellement dans un monde de plus en plus
menaçant.
Ces centres peuvent servir comme une espèce d’écoles universelles de la vie qui facilitent l’écologie
de penser, la vérité de l’information, l’aide, les échanges, les stages et la formation
générale ou spécifique d’initiation dans l’esprit de synthèse. Leur but
n’est pas seulement l’intégration de nouvelles visions, mais aussi de nouvelles
pratiques et structures de partage, de convivience, de coopération et de
communication pour l’organisation d’un
ordre nouveau. Comme références de la transformation positive de la société et
de renforcement de la marche mondiale vers la solidarité, ils peuvent aussi
former des autorités neutres, formant des supports libres et indépendants pour
l’ordre officiel. C’EST L’ESPRIT DES NATIONS UNIES MAIS
EN PLUS DIRECT, CONCRET ET MULTIPLIE JUSQUE SUR LE PLAN LOCAL.
C’est dans ce sens que nous avons développé LE PROJET CALADROY, mentionné dans ce blog.
14. Conclusion :
Le problème de la fin du monde n’est pas seulement un problème d’actions
écologiques envers notre environnement, surtout pas sur le dos de ceux qui sont
déjà dans le besoin et qui en souffrent déjà le plus. Aucune solution n’aura pas
suffisamment d’effet et ne sera pas pris à temps si elles ne soient pas
accompagnées par une écologie de notre façon de penser. Il s’agit avant tout de
voir comment HARMONISER LE SENS DE LA VIE DE CHACUN AVEC LE SENS DE L’EVOLUTION DE LA
VIE DE TOUTE L’HUMANITE, au-delà du potentiel limité de la vision individuelle
des hommes politiques.
Nous sommes convaincus que le vrai sens des changements actuels est de nous
pousser vers une nouvelle conscience à fin d’harmoniser les consciences individuelles.
Elle ira au-delà de nos engagements et vision particuliers à fin que nous
unissions nos forces dans le respect des particularités de chacun. L’UNION FAIT
LA FORCE. La paix, la
santé, le bonheur et la survie de l’humanité sont à ce prix. L’esprit d’union va
inévitablement dans le sens d’unir les personnes de bonne volonté, de bonne
intention en faisant le bon apport
des leurs moyens et prêts à créer
une vision fraternelle et solidaire qui tient compte avec tous les niveaux
de vie de la terre en les respectant.
Entretemps, le résultat de ces réflexions ressemblent à des belles
princesses enfermées et endormies dans les belles châteaux de villes de rêves
en attendant que des nobles et sages personnes s’unissent et décident de les
embrasser pour les éveiller et leur donner longue vie et abondance de fruits de
vérité, de bonheur de vivre et de lumière de conscience d’union en paix
durable.
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